La cannelle : Riche en antioxydants, alcalinisantes, parfais pour lutter contre les radicaux libres et l'acidité produits au cours de l'effort. Très parfumée, elle permet de mettre moins de sucre dans les desserts. De plus, elles renfermes des fibres qui ralentissent l'absorption de sucre et donc évite les montées brusque d'insuline. Parfais pour la perte de poids, même si l'expérience ,'a pas été porté sur les humains mais sur des souris, nous savons qu'elle a la capacité de lutter contre le diabète et le strss oxydatif.
Piment : Brûle-graisse, cette épice augmente la sensation de satiété et le métabolisme de base grâce à sa capsaïcine, pourvu en antioxydants (action anti-cancer). Bon pour les sportifs en vu de contrôler leur poids. Par contre, attention ! déconseillé chez les personnes qui souffrent du syndrome de l'intestin irritable et de reflux gastro-œsophagien.
Le Curcuma : Elle figure dans plus de 6000 études scientifiques, qui ont révélé plus de 600 effets bénéfiques pour la santé. En particulier, des études médicales de première importance ont montré que le curcuma prévient et inverse la dépression, le diabète de type 2, les maladies cardiaques et même certains cancers. Les habitants de Ballabgarh en Inde, gardent leurs capacités mentales jusqu’à un âge avancé.
Une revue de plusieurs études scientifiques a examiné en détail les effets du curcuma sur l’Alzheimer. Les éléments sont si nets que les chercheurs ont conclu que cette épice orientale « allait conduire à un traitement prometteur de la maladie d’Alzheimer>>. Le taux d’Alzheimer à Ballabgarh est le plus bas jamais répertorié. Il est trois fois plus bas que dans les villages américains équivalents.
Antioxydant, anti cancer et est aussi un puissant anti-inflammatoire. Par contre, seul, le curcuma est mal assimilé, pour qu'il soit efficace il faut le diluer dans de l'huile pour en amélioré son absorption, de préférence d'olive , en rajoutant du poivre noir (sauf si vous avez des problèmes de porosité intestinal) pour que son action s'amplifie.75 % du curcuma consommé se retrouve dans les selles et on a longtemps recommandé d’y ajouter du poivre noir, qui avait le pouvoir de multiplier par 20 son absorption. Mais le poivre noir et son principe actif, la pipérine, sont des substances inflammatoires, ils créent une inflammation de la paroi intestinale qui facilite le passage dans le sang de la curcumine, mais aussi de molécules indésirables. En revanche, le gingembre, qui facilite également l’absorption, forme une belle synergie antiinflammatoire avec le curcuma. En outre, les curcuminoïdes sont liposolubles, c’est-à-dire qu’ils aiment les corps gras39. Dans l’alimentation, on peut saupoudrer un peu partout du curcuma en y adjoignant du gingembre râpé et un lipide, plus une petite pincée de poivre si vous ne souffrez pas d’inflammation digestive.
On en connaît les propriétés anti-inflammatoires mais une étude clinique récente a montré que la curcumine (l’une des substances actives de cette épice) réduisait le gonflement des articulations, la raideur matinale et facilitait la marche chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde. Une autre étude a établi que le curcuma avait des effets comparables à l’ibuprofène pour soulager les douleurs aux dos de patients en situation de marche rapide. En médecine Chinoise, il est dit dans son jargon que c'est un aliment froid, donc, pour les personnes ayant souvent froid surtout en hiver il n'est pas forcément adapté pour eux.
Le curcuma est déconseillé en cas d’obstruction des voies biliaires et de calculs biliaires. À cause de son effet anticoagulant, il est conseillé de stopper les compléments deux semaines avant une intervention chirurgicale.
Les nombreuses vertus du curcuma
● Soulager les douleurs articulaires ou tendineuses23 : le curcuma à la dose de 1,5 g est aussi efficace que l’ibuprofène avec moins d’effets secondaires. ● Traiter l’ulcère de l’estomac24 : 1,5 g de curcuma permet de faire disparaître les lésions ulcéreuses en 1 à 3 mois de traitement chez 19 patients sur 25. ● Prévenir les pathologies cardiovasculaires25 : le curcuma maintient l’intégrité des vaisseaux sanguins, ce qui lui permet de lutter contre l’hypertension. ● Calmer l’inflammation intestinale26 : le curcuma est un grand protecteur de l’intestin, il joue un rôle central dans la prévention de toutes les maladies intestinales et est efficace notamment dans le traitement du côlon irritable, de la colite, de la rectocolite hémorragique, de la maladie de Crohn, de l’hyperperméabilité intestinale, etc. ● Traiter les intoxications, notamment médicamenteuses27 : la curcumine active les enzymes de détoxication du foie et le soutient dans ses fonctions. ● Lutter contre le vieillissement du cerveau28 : le curcuma est un neuroprotecteur puissant qui a montré une certaine efficacité dans la maladie d’Alzheimer. ● Prévenir le diabète29 : le curcuma augmente les récepteurs à l’insuline et améliore les fonctions du pancréas. Le curcuma contre le cancer Préventivement, le curcuma est très actif contre le cancer, une consommation régulière protège l’ADN et renforce la cohésion des cellules, ce qui empêche l’apparition de cellules mutées, potentiellement cancéreuses30.
Beaucoup d’études ont rapporté le rôle anticancéreux des curcuminoïdes et de son chef de file, la curcumine, notamment dans le cancer du côlon31, du duodénum, de l’œsophage, du sein32, de l’utérus33, des ovaires34, de la prostate35, etc. Ces substances présentent des mécanismes d’action multiples et parviennent à inhiber les facteurs de croissance et la prolifération des cellules cancéreuses36. La curcumine a aussi pour propriété de s’opposer à l’angiogenèse, c’est-à-dire la formation de vaisseaux sanguins dans les tumeurs nécessaires à leur développement ; elle favorise les agents suppresseurs de tumeurs et encourage l’apoptose, le suicide des cellules malades37. Combiné aux traitements, le curcuma favoriserait la mort cellulaire et réduirait la formation de métastases, ainsi que la toxicité des chimiothérapies et des radiothérapies38. Pourtant, si le curcuma semble être un vrai médicament anticancer, il est aussi recommandé de ne pas en consommer durant les chimiothérapies, car il pourrait réduire leur action, notamment dans le cancer du sein. Il n’y a aucun risque à l’utiliser dans l’alimentation, mais prendre des extraits concentrés en curcumine est contre-indiqué dans plusieurs protocoles ; par contre, ils auront un grand intérêt une fois les traitements terminés, pour réduire le risque de récidive.
22. Augustine Amalraj et al, Biological activities of curcuminoids, other biomolecules from turmeric and their derivatives – a review, J Tradit Complement Med, 2017, 7 (2) : 205–233 James W Daily et al, Efficacy of Turmeric Extracts and Curcumin for Alleviating the Symptoms of Joint Arthri- tis: a Systematic Review and Meta-Analysis of Rando- mized Clinical Trials, J Med Food. 2016, 19 (8) : 717–729 Sahebkar A et al, Are curcuminoids effective C-reac- tive protein-lowering agents in clinical practice? Evidence from a meta-analysis, Phytother Res, 2014, 28 (5) : 633-42
23. Kuptniratsaikul V, Thanakhumtorn S, Chinswangwatanakul P, Wattanamongkonsil L, Thamlikitkul V. Efficacy and safety of Curcuma domestica extracts in patients with knee osteoarthritis. J Altern Complement Med. 2009 Aug;15(8):891-7. doi: 10.1089/acm.2008.0186
24. Prucksunand C et al, Phase II clinical trial on effect of the long turmeric (Curcuma longa Linn) on healing of peptic ulcer, Southeast Asian J Trop Med Public Health., 2001, 32 (1) : 208-15
25. Karimian MS et al, Curcumin and Endothelial Func- tion : evidence and Mechanisms of Protective Effects, Curr Pharm Des. 2017 Feb 22
26. Stefan Bereswill et al, Anti-Inflammatory Effects of Resveratrol, Curcumin and Simvastatin in Acute Small Intestinal Inflammation, PLoS One, 2010, 5 (12) : e15099
27. Gupta SC et al, Therapeutic roles of curcumin: lessons learned from clinical trials, AAPS J, 2013, 15 (1) : 195-218
28. Pocernich CB et al, Nutritional approaches to modulate oxidative stress in Alzheimer’s disease, Curr Alzheimer Res, 2011, 8 (5) : 452-69
29. Hajavi J et al, Curcumin: a Naturally Occurring Modula- tor of Adipokines in Diabetes, J Cell Biochem, 2017 May 9
30. Tuorkey MJ et al, Curcumin a potent cancer preven- tive agent : Mechanisms of cancer cell killing, Interv Med Appl Sci, 2014, 6 (4) : 139-46
31. Carroll RE et al, Phase IIa clinical trial of curcumin for the prevention of colorectal neoplasia, Cancer Prev Res (Phila), 2011, 4 (3) : 354-64
32. Kumar P et al, Curcumin as an adjuvant to breast cancer treatment, Anticancer Agents Med Chem, 2015,15 (5) : 647-56
33. P R Debata et al, A novel curcumin-based vaginal cream Vacurin selectively eliminates apposed human cervical cancer cells, Gynecol Oncol, 2013, 129 (1) : 145 – 153
34. Yallapu MM et al, Curcumin induces chemo/radio- sensitization in ovarian cancer cells and curcumin nanoparticles inhibit ovarian cancer cell growth, J Ovarian Res, 2010, 3 : 11
35. Ide H et al, Combined inhibitory effects of soy isofla- vones and curcumin on the production of prostate- specific antigen, Prostate, 2010, 70 (10) : 1127-33
Le gingembre : anti-inflammatoire, anti-nauséeux et est un puissant stimulants. Il renforce l'immunité, donne du tonus, favorise les performances. C'est un adaptogène (qui s'adapte à tout les maux). En poudre, il se dissout dans les plats en sauces, ou coupé en petit morceaux frais il est parfais pour les infusions de vos tisanes, thé. Il est parfais pour la flore intestinale. vous pouvez prendre un petit morceau à mâchonner juste avant une compétition en buvant une gorgé d'eau. Les dernières études montrent qu’il pourrait bien prévenir l’apparition de la maladie d’Alzheimer en stimulant vos capacités intellectuelles. En médecine Chinoise, il est dit dans son jargon que c'est un aliment chaud, donc, contrairement au curcuma qui est froid il sera plutôt adapté pour eux.
Le ganoderma : ce champignon chinois connu depuis des millénaires par la médecine Chinoise, est aujourd'hui reconnue par la médecine traditionnelle occidentale. Il est très rare à trouver dans la nature, il était impossible d'en cultivé jusqu'à quelques années en arrière, mais grâce aux japonais aujourd’hui c'est chose faite, c'est le champion numéro 1 de par ses vertus magiques. Adaptogène, il s'adapte à tous les maux, il protège l'organisme dans son ensemble, c'est un anti-cancer avec plus de 150 antioxydants, il renferme du fer, des oméga ... il régule la glycémie (parfais pour les diabétiques), augmente le tonus intellectuel et physique, participe au sevrage des drogues, améliore la qualité du sommeil, prévient les grippes, angine, rhume, il protège de la pollution et des poumons (bronchites, asthme) surtout lors d'association avec du propolis, curcuma + gingembre. Il élimine les toxines, polluants, pesticides et métaux lourds (surtout en l'associant avec de la spiruline). Stimule le système immunitaire .... bref, la liste est longue, je vous ferais un article dédié uniquement sur ce fameux champignons chinois.
Les dosages varient généralement de 1,5 g à 9 g par jour de champignon séché ou l’équivalent.
''extrait sur pubmed''
Ganoderma lucidum (Curtis) P. Karst est également connu comme le champignon reishi et le champignon de l'immortalité. Il a longtemps été utilisé pour traiter des troubles tels que les infections fongiques, la grippe, le rhume, l'hépatite, le diabète, l'hypercholestérolémie et le cancer dans de nombreux pays, dont la Chine et le Japon. G. lucidum renforce le système immunitaire et réduit les effets secondaires de la chimio et de la radiothérapie. Nous avons étudié les effets génotoxiques et antigénotoxiques possibles de l'extrait aqueux de G. lucidum sauvage de Turquie en utilisant le test HET-MN.
Le shiikaté : Reconnu pour ses propriétés anti cancer, anti inflammatoire, anti cholestérol, à utilisé pendant l'hiver, là ou les infections respiratoires sont le plus fréquentes. De plus c'est un champignons au bonne protéines, avec ses 2,2 g aux 100, il contient tout les acides animés donc le corps a besoin. Riche en vitamine D, en cuivre et sélénium.
La maca : racine péruvienne, contient du calcium, potassium, phosphore, magnésium, fer, manganèse, iode, cuivre, acide aminés ... vitamines.
Booster naturel parfais pour les sportifs pour leur tonus et vitalité, lutte contre la fatigue nerveuse et le stress, bon contre l’anémie, contre les douleurs menstruelle, active la libido aussi bien pour les hommes que pour les femmes, parfais pour les femmes ménopausées pour éviter l'ostéoporose. Ne pas prendre le soir (trouble du sommeil).
Le ginseng : racine fortifiante, elle a des effets positifs sur le corps mais aussi sur l'esprit, renforce l'organisme contre les infections, favorise un sommeil plus profond et plus récupérateur, amélioration pour les personnes malades ou en convalescence, soulage les dépressions ... faite des cures de maximum de quatre semaines, Faire une pause de quelques jours avant de recommencer. Par rapport au maca, elle a la particularité d'amélioré les effort de longue durée, tandis que le maca sera meilleur pour les efforts intenses mais plus court. le maca et le ginseng peuvent se prendre mélangé. Attention ! bien prendre la racine du ginseng, car il arrive que l'on puisse vous vendre des extraits de ginseng à base de ses feuilles qui n'ont aucun intérêt.
Le cunin : Riche en fibres, en vitamines du groupe B (thiamine, riboflavine et niacine), en minéraux (fer et zinc notamment) et en composés antioxydants, l’épice possède de nombreuses vertus santé !
1. UNE ACTION AMINCISSANTE
Le cumin peut renforcer l’efficacité d’un régime alimentaire visant à lutter contre le surpoids. Une étude iranienne a rassemblé 88 femmes obèses ; toutes ont reçu des conseils diététiques et ont réduit leur ration quotidienne de 500 calories. Une partie d’entre elles a bénéficié d’un apport de 3 g de poudre de cumin par jour pendant 3 mois tandis que les autres recevaient un produit placebo. Le groupe cumin à permis une perte plus importante du poids et la poudre a de plus permis une réduction des taux de cholestérol LDL et de triglycérides, et une amélioration des taux de HDL, facteurs favorables à la santé cardiovasculaire.
2. DES PROPRIÉTÉS DIGESTIVES
En médecine traditionnelle, le cumin est réputé pour ses vertus stimulantes de la digestion, antispasmodiques, et sa capacité à absorber les gaz intestinaux. Il est donc utilisé pour lutter contre divers troubles digestifs : maux de ventre, flatulences, coliques, diarrhées… La science moderne apporte des éléments de preuves à ces pratiques séculaires ; des études chez l’animal ont montré la capacité de l’épice à stimuler la production de bile par le foie, ce qui facilite la digestion des graisses. Elle favorise également la production des enzymes digestives (protéases, lipases, amylases), qui assurent la découpe des nutriments que nous consommons pour permettre leur assimilation au niveau de l’intestin grêle. L’huile essentielle de cumin (20 gouttes par jour en 2 prises, pendant 1 mois) atténue les symptômes des personnes souffrant du syndrome de l’intestin irritable.
3. UNE ARME CONTRE LES MICROBES
De nombreuses épices sont dotées de propriétés antimicrobiennes, ce qui explique pourquoi leur usage est très répandu dans la cuisine traditionnelle des régions chaudes, propices aux développements bactériens dans les aliments. Le cumin ne fait pas exception et cette qualité pourrait s’avérer précieuse pour lutter contre une redoutable bactérie, Helicobacter pylori, qui provoque des dommages au niveau de l’estomac (ulcères, voire tumeur cancéreuse). Des tests en laboratoire ont montré la capacité de l’épice à détruire cet agent pathogène autant que son effet protecteur contre le cancer de l’estomac. Deux atouts qui en font un précieux allié, notamment dans le cas où les traitements antibiotiques classiques sont tenus en échec en raison des résistances acquises par certaines souches de ce microbe. L’huile essentielle de cumin est en outre efficace contre bien d’autres pathogènes, comme la bactérie E. coli, l’agent responsable de la tuberculose (Mycobacterium tuberculosis) ou le champignon Candida albicans.
4. STIMULE LA LACTATION
Le cumin fait partie des plantes ayant des propriétés bénéfiques sur la production de lait maternel et peut donc être consommé pendant la période d’allaitement, notamment sous forme de tisane éventuellement associée à du fenouil, de l’anis étoilé, du fenugrec. Outre l’action stimulante sur la lactation, le bébé pourra ainsi profiter des bienfaits digestifs de la plante pour apaiser les coliques. En revanche, elle doit être strictement évitée lors de la grossesse : le cumin possède des propriétés abortives et peut donc entraîner une fausse couche.
5. PROTÈGE DE LA PERTE OSSEUSE
Le cumin contient des composés proches des hormones féminines, les phyto-œstrogènes. Il pourrait ainsi contribuer à penser le déclin hormonal qui se produit au moment de la ménopause. Dans une étude menée chez des animaux utilisés comme modèle pour l’étude de l’ostéoporose, l’administration de cumin est parvenue à prévenir la perte de masse osseuse liée au manque d’hormones de manière aussi efficace que l’œstradiol, un œstrogène de synthèse. Contrairement à ce dernier, le cumin n’a pas eu d’effet sur la prise de poids et n’a pas provoqué de modifications au niveau de l’utérus propices à l’apparition de cancer.
6. UNE ACTION CONTRE LES MÉFAITS DU SUCRE
Le cumin semble contrer efficacement les phénomènes de glycation qui se produisent dans notre organisme par réaction entre des sucres et les constituants de nos cellules, les protéines notamment. L’épice pourrait ainsi atténuer cette réaction qui accélère le vieillissement et favorise l’apparition de différentes pathologies liées à l’âge. Le cumin est disponible dans le commerce sous forme de fruits séchés, entiers ou réduits en poudre. Il peut être ajouté au cours de la cuisson des aliments ou agrémenter des crudités. Sa saveur est intense, le bon dosage n’est pas toujours facile à trouver ! Pour tirer parti de ses bienfaits, une préparation sous forme de tisane est également possible : 2 g de cumin en grains, préalablement concassés à l’aide d’un mortier ou passés au moulin, sont mis à infuser dans environ 200 ml d’eau bouillante pendant une dizaine de minutes.
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