Depuis les années 60_70 on nous à
toujours déconseiller de manger des graisses sous prétexte que ça fait
grossir et que les graisses sont responsable des problèmes cardio vasculaires …
et dès les années 70, ils commençaient à prescrire un des médicaments les plus
rentables jamais inventé par l’industrie pharmaceutique : les médicaments anti
cholestérol, surnommés ‘’statines.’’
Aujourd’hui encore, le discours officiel
diabolise le cholestérol.
Et pourtant … on a découvert la vérité
sur le cholestérol…
Un de nos plus brillants chercheurs français
à dit :
«
Une multitude de recherches dans différents pays montrent maintenant qu’il
serait plutôt bénéfique pour la santé d’avoir un taux de cholestérol élevé »
Vous avez bien entendu : un taux de cholestérol élevé serait même bénéfique pour la santé.
Et il est donc très dangereux de le faire
baisser artificiellement, par des médicaments chimiques !
L’homme qui tient ces propos c’est pas
farleulu, loin de là.
C’est
le docteur Michel de Lorgeril, chercheur au CNRS, expert international en cardiologie
et en nutrition, membre de la société Européenne de cardiologie.
Si votre médecin vous donne des anti
cholestérol ou statines, sachez que votre médecin n’est pas encore au courant
des mensonges des groupes de labos pharmaceutiques qui ne cherche que votre
argent.
Les statines n’ont aucun effet positif
pour vous protéger d’un infarctus (mais une liste presque infinie d’effets
secondaires comme : des troubles du sommeil, des muscles, de la mémoire,
augmentation des cancers, du diabète, de la dépression et de toutes sortes de
troubles neurologiques, etc.) ;
Il n’y a pas un « bon » et un « mauvais »
cholestérol : vous allez comprendre l’origine de ce mythe ;
Les statines sont l'exemple type de la
pilule chimique « miracle », présentée au public comme efficace contre les
maladies du cœur, alors qu'il n'a jamais été prouvé qu'elles diminuent le
risque de mortalité.
Bien au contraire : les recherches (honnêtes)
montrent que les statines diminuent les facteurs d'énergie musculaire, à
commencer par celle du myocarde (muscle du cœur).
De plus, selon le spécialiste, Michel de
Lorgeril, cardiologue et chercheur au CNRS :
«
Les statines peuvent ruiner la vie sexuelle des individus traités,
considérablement diminuer leurs capacités cognitives, augmenter le risque de
troubles de la vision, augmenter ou aggraver le risque de dépression et
augmenter le risque de cancer. »
Selon une étude effectuée sur un
panel de 650 patients sous statines, 87 % des patients ont consulté leur
médecin suite à des effets secondaires, tels que des douleurs musculaires. Figurez-vous que parmi les patients qui traitent leur cholestérol avec des statines , 1 sur 4 souffre de faiblesses musculaires.
Quand on sait que presque 8 millions de personnes prennent des statines en France, faire la corrélation avec le mal de dos, devenu la première cause d’arrêt maladie en France, devient légitime !
Grâce à une équipe de chercheurs néerlandais, il vient d’être prouvé qu’il y a un lien direct entre statines et dégâts musculaires. [1]. De nombreux patients étudiés par ces chercheurs, traités aux statines, se mettent à souffrir de dégénérescence pouvant aller jusqu’à des myopathies, et myopathie nécrosante auto-immune.
L’explication est la suivante : lorsqu’elles sont injectées dans le corps, les statines sont sous forme acide. C’est ainsi qu’elles peuvent ralentir la production de cholestérol.
Cependant, une fois dans le corps, une grande quantité de statines acides se transforme en lactones, des substances qui n’ont aucun effet thérapeutique.
Ces lactones interfèrent dans la respiration de vos cellules musculaires. Elles entravent le bon fonctionnement des mitochondries, les centrales thermiques qui produisent de l’énergie pour vos muscles.
En somme, les statines affaiblissent lentement, mais inexorablement, les muscles des humains que nous sommes. Et l’on continue à les prescrire à des dizaines de millions de patients à travers le monde…
Quand on sait que presque 8 millions de personnes prennent des statines en France, faire la corrélation avec le mal de dos, devenu la première cause d’arrêt maladie en France, devient légitime !
Grâce à une équipe de chercheurs néerlandais, il vient d’être prouvé qu’il y a un lien direct entre statines et dégâts musculaires. [1]. De nombreux patients étudiés par ces chercheurs, traités aux statines, se mettent à souffrir de dégénérescence pouvant aller jusqu’à des myopathies, et myopathie nécrosante auto-immune.
L’explication est la suivante : lorsqu’elles sont injectées dans le corps, les statines sont sous forme acide. C’est ainsi qu’elles peuvent ralentir la production de cholestérol.
Cependant, une fois dans le corps, une grande quantité de statines acides se transforme en lactones, des substances qui n’ont aucun effet thérapeutique.
Ces lactones interfèrent dans la respiration de vos cellules musculaires. Elles entravent le bon fonctionnement des mitochondries, les centrales thermiques qui produisent de l’énergie pour vos muscles.
En somme, les statines affaiblissent lentement, mais inexorablement, les muscles des humains que nous sommes. Et l’on continue à les prescrire à des dizaines de millions de patients à travers le monde…
Le médicament idéal... pour la
pharma-industrie
Un des avantages énormes des statines, en
revanche, c'est qu'il faut en prendre à vie. Cela en fait un des médicaments
les plus rentables pour l'industrie pharmaceutique. En France, huit millions de
personnes innocentes ont été mises sous statines, ce qui rapporte un milliard d'euros
par an à l'industrie. Ce ne sera pas la première fois que les labo
pharmaceutique font scandale.
Quant à la baisse du taux de cholestérol,
bien réelle après avoir avalé une pilule de statines, on s'aperçoit aujourd'hui
qu'elle n'entraîne nullement la baisse du risque d'infarctus ni d'attaque
cérébrale.
C'est que le cholestérol ne bouche pas à
lui seul les artères, comme des chercheurs en ont fait l'hypothèse dans les
années soixante ; aujourd'hui, on sait que vous pouvez parfaitement avoir un
taux élevé de cholestérol et être en bonne santé. Ce mythe en fait, à
cette époque, est dû par Ansel KEYS, un chercheur américain a reçu le prix Nobel en 1963 pour ses travaux sur les effets de l'alimentation sur la santé cardiovasculaire. qui après des recherches sur
sept pays, avait conclu que les pays (la Grèce, Japon, Yougoslavie, Italie, Pays-Bas, Etat-Unies, Finlande) avec un taux de cholestérol bas vivait
plus longtemps et en meilleurs santé que ceux avec un cholestérol haut. De plus
il avait remarquer qu’i y avait un bon et un mauvais cholestérol ( hdl et ldh),
de là sont née les statines, sauf qu’après plusieurs années ils se sont rendu
compte que les personnes ayant fait baissé leurs cholestérol n’avait pas moins
de chance d’avoir un accident cardiaque, bien au contraire, donc
ils ont repris les recherches de l’américain, et ils se sont rendu compte que
les recherches n’avait pas été fait sur sept pays mais sur 22 pays. Et oui ! mais comme il ne
comprenait pas pourquoi certains pays vivait longtemps malgré un cholestérol
haut et d’autres mourrait prématurément de problèmes cardio vasculaires avec un
taux de cholestérol bas, alors il a simplifié ses recherches avec sept pays qui
avait des taux de cholestérol correspondant avec ses rapports scientifique.
Mais entre-temps ont n’avait fabriqué des statines qui rapportait beaucoup
d’argent, et là ! pas questions de supprimé les statines. C’est un gros
scandale de santé publiques, d’autant plus scandaleux, que les effets
secondaires peuvent être très graves. Un autre scandales au sujet des statines,
c’est que les chercheurs ont découvert plus récemment qu’on pouvait réduire les
effets secondaire des statines en les mélangeant avec une coenzyme nommé COQ
10. Le COQ 10 est une coenzyme naturelle que le corps fabrique naturellement,
mais devient de plus en plus rare en prenant de l’âge. Ce sont les Japonais qui
en ont découvert les propriétés du Coq 10 au début des années 60. Il est
prescrit au Japon depuis 1974, et des millions de patients en prennent
quotidiennement. Mais la plupart des médecins occidentaux continuent à
ignorer le CoQ10, même si ça réduit les effets secondaires, ça coûtent
financièrement plus chers. Bizarrement en France et dans bien d’autres pays, on
a pas pensé que ce serai une bonne idée. On se demande bien pourquoi !!
Peut-être parce que c'est une molécule naturelle,
donc non brevetable.
Le problème du cholestérol en fait n’est
pas un problème.
Sachez que les personnes qui ont un
faible taux de cholestérol ont un risque de dépression et de mortalité plus
élevé que les autres. Et la raison est simple :
Le cholestérol n'est pas un poison :
c'est une substance vitale essentielle pour la paroi de vos cellules, pour
votre production d'hormones, avec un effet anti-vieillissement, et aussi pour
votre cerveau - d'où le risque de dépression chez les personnes qui manquent de
cholestérol, et même de malformation et de handicap mental en cas de déficit
grave
Huit millions de Français aujourd'hui
prennent des médicaments contre le cholestérol. Il est pourtant démontré que
ces médicaments ne diminuent pas le risque de décès par accident
cardiaque.
Cependant, depuis les années soixante, la
majorité des médecins ont cru que, malgré tous ses bienfaits pour le corps et
l'esprit, le cholestérol posait aussi un danger pour les artères.
Ils avaient en effet imaginé que, tel le
calcaire se déposant sur votre robinetterie, le cholestérol pouvait se déposer
le long des artères jusqu'à les boucher et déclencher une embolie (blocage de
la circulation sanguine).
En réalité, 75 % des gens ayant des
crises cardiaques ont un taux de cholestérol normal.
Lors d'un récent colloque de la British
Medical Association, le Dr Malcom Kendrick a montré qu'un taux de cholestérol
élevé n'entraîne pas de maladie cardiaque. En utilisant les données du projet
MONICA de l'Organisation Mondiale de la Santé dans quinze populations, il a
montré l'absence de relation entre le risque de maladies cardiaques et le taux
de cholestérol.
Et on pense savoir aujourd'hui pourquoi :
Vos artères sont attaquées par des «
molécules carnivores »
Ce que pensent aujourd'hui les chercheurs
les plus en pointe, c'est que l'apparition de la plaque artérielle est une
réaction d'auto-défense de votre corps, face à des dommages causés dans vos
artères par des substances oxydantes et inflammatoires.
La paroi intérieure de vos artères est
normalement protégée par une fine pellicule qui permet au sang de couler sans
s'accrocher, exactement comme de l'eau sur les feuilles des arbres : des
gouttelettes peuvent se former à la surface, mais elles finissent par
ruisseler, sans laisser de trace.
Le problème apparaît lorsque votre sang
contient des « molécules carnivores », qui griffent la paroi de vos artères et
y font des trous.
Ces molécules carnivores sont appelées
les « radicaux libres ». Elles proviennent de l'environnement (gaz
d'échappement, fumée de cigarette, polluants), de la mauvaise alimentation, et
des déchets naturels dus à la production d'énergie par vos cellules. Ces
radicaux libres rongent les parois de vos artères.
Heureusement, votre corps réagit en réparant les fissures
dans la paroi de vos artères grâce à un ciment spécial et plus efficacement que
n’importe quel produit, ce ciment se nomme : cholestérol, mélangé à du
calcium et d'autres substances.
Vous comprenez donc que, au départ, cette
réaction de votre corps est non seulement souhaitable, mais même indispensable
à votre survie !
Vous comprendrez mieux pourquoi les
régimes sans matières grasse ne sont pas adaptés à la bonne santé.
Sur sport et santé nous cherchons en
premiers la santé, performances_ santé, amincissement_sante …
Un problème de santé n'apparaît que si
vous laissez ces « molécules carnivores » se multiplier et attaquer la paroi de
vos artères. En effet, votre corps va rajouter des couches de ciment jusqu'à ce
que se forme une couche problématique, la plaque artérielle.
Comment lutter contre ces molécules carnivores (radicaux libres) ?
Comment empêcher ces substances agressives d'apparaître, et les éliminer si
elles tentent une offensive ?
Il existe dans la nature des substances
miracles qui protègent votre organisme contre les radicaux libres : ce sont les
anti-oxydants.
Les anti-oxydants sont des composés chimiques
qui ont cette capacité remarquable de détruire les radicaux libres, dès qu'ils
sont mis en contact : ils transforment ces molécules carnivores, qui
attaquaient la paroi de vos artères, en des corps inoffensifs et doux, qui
glissent dans le flux sanguin sans plus chercher à griffer ni à faire des
trous.
Comment maximiser vos apports d'anti-oxydants ? C'est très simple :
Fruits et légumes frais sont bourrés d'anti-oxydants (surtout la vitamine C précurseur du collagène pour rendre vos parois artériels souple), surtout lorsqu'ils sont colorés en vert (épinards, blettes,
petits pois), en rouge (poivrons, tomates, cerises, groseilles), en bleu
(myrtilles, mûres, cassis, aubergine avec la peau), mais on en trouve aussi
énormément dans le pamplemousse, le raisin. Ces anti-oxydants qui parfument et
colorent les végétaux s'appellent des « polyphénols ».
La meilleure façon d'avoir votre dose
quotidienne d'anti-oxydants est de manger beaucoup de fruits et légumes mûrs et
frais, de saison, et si possible au plus proche de leur forme naturelle,
c'est-à-dire peu ou pas cuits ni transformés.
Préférez les fruits et légumes
biologiques, cultivés près de chez vous : moins ils auront été transportés et
stockés dans des frigos, plus ils seront riches en anti-oxydants.
Bien entendu, il n'est pas toujours
possible, tous les jours, de manger autant de fruits et légumes frais que
nécessaire et c'est pourquoi beaucoup d'entre nous prenons des anti-oxydants
sous forme de jus spéciaux (comme le jus de grenade par exemple) ou de
compléments alimentaires, dont les plus répandus sont la vitamine E et la vitamine
C mais il ne faut jamais oublier qu’aucune pilule ne peut remplacer les
bénéfices des fruits et légumes frais.
Boostez l'effet de vos anti-oxydants
Ce que peu de gens savent, en revanche,
c'est qu'il est absolument crucial de consommer ces anti-oxydants sous leur
forme « réduite », par opposition à leur forme « oxydée ». Vous vous en
apercevez à leur aspect :la vitamine C « réduite » se présente sous la forme
d'une poudre blanche. Si elle est oxydée, elle devient brune. Le jus de
grenade, pourtant extrêmement riche en anti-oxydants, perd ses vertus lorsqu'il
est exposé à l'air parce qu'il s'oxyde.
De même, à l'intérieur de votre corps,
dès que vos anti-oxydants agissent pour détruire des radicaux libres, ils sont
à leur tour oxydés, et ne peuvent plus avoir d'effet.
Pour qu'ils soient à nouveau efficaces,
votre corps doit régénérer ces anti-oxydants, et il ne peut le faire que s'il
contient des enzymes recycleurs. Et il est possible d’améliorer le
fonctionnement de ces enzymes recycleurs grâce au co-enzyme Q10, ou CoQ10.
Le plus puissant anti-oxydant fabriqué
naturellement par votre organisme !
Il se trouve que le CoQ10 est capable de
renouveler et renforcer l'action des autres anti-oxydants comme la vitamine C,
les tocotriénols (vitamine E) et les caroténoïdes comme l'astaxanthine, en les
régénérant chaque fois qu'ils se font oxyder.
C'est déjà un petit miracle en soi ; mais
les vertus pour la santé du CoQ10 ne s'arrêtent pas là : En lui-même, le CoQ10
est une des plus puissantes substances anti-oxydantes qui existe dans notre
corps.
De plus, le CoQ10, intervient directement
dans le cycle de la production d'énergie cellulaire, au niveau de
mini-centrales énergétiques appelées « mitochondries » qui se trouvent dans vos
muscles et qui leur permettent de se contracter.
C'est donc une substance extraordinaire
pour les personnes qui vieillissent et ont l'impression de perdre de
l'énergie.
Le CoQ10 possède en effet la propriété
remarquable d'aider les mitochondries à convertir les graisses et les sucres en
adénosine triphosphate (ATP), principale source d'énergie des muscles, et en
particulier du myocarde (muscle du cœur).
A noter que les bienfaits du CoQ10 ne se
limitent pas au cœur, loin de là : il est présent dans tout l'organisme,
notamment dans les muqueuses des gencives et de l’estomac, dans les tissus de
tous les organes qui jouent un rôle dans le système immunitaire, dans le foie,
les reins et la prostate.
Le CoQ10 a fait l'objet d'un millier de
publications scientifiques, de plusieurs conférences internationales, sans
compter les essais contrôlés par placebo au Japon, au US, en Italie, en
Allemagne et en Suède.
Le niveau de CoQ10 baisse fortement avec l'âge
Quand vous êtes jeune, en bonne santé et
plein de vie, votre foie fabrique suffisamment de CoQ10 pour fournir la
puissance nécessaire à votre cœur, vos poumons, vos muscles, et pour contrer
les radicaux libres. L'énergie et la protection de vos organes vitaux (cœur et
cerveau), de votre peau, de vos cheveux et de vos yeux est assurée.
Le problème survient quand le
vieillissement, la mauvaise santé, la prise de médicaments et une mauvaise
alimentation diminuent la production naturelle de CoQ10 dans votre corps. A
votre 50e anniversaire, vous produisez 25 % de CoQ10 en moins qu'à 20 ans, ce
qui peut expliquer pour une grande partie les symptômes du vieillissement (à 80
ans, la diminution peut atteindre 65 %).
Sans CoQ10, votre corps ne parvient plus
à régénérer vos anti-oxydants (vitamine E et C, ainsi que les polyphénols). De
plus, la production d'énergie cellulaire est fortement entravée.
Pour toutes ces raisons, il peut être
nécessaire de prendre du CoQ10 sous forme de compléments alimentaires. Mais cela
est plus vrai encore pour les personnes qui prennent des statines :
Le CoQ10 s'oppose aux effets secondaires
des statines
La prise régulière de statines bloque
donc la production de CoQ10 en même temps qu'elle bloque la production de
cholestérol ! Cela aboutit à une baisse du niveau de CoQ10 dans les
mitochondries, et donc à une baisse de la production d'énergie cellulaire, avec
des effets évidents sur les muscles, à commencer par le cœur — et une plus
grande vulnérabilité aux radicaux libres.
Comment faire le PLEIN d'énergie cellulaire ?
Je vous ai dit plus haut que la CoQ10
aide vos mitochondries à convertir les graisses et les sucres en adénosine
triphosphate (ATP), la principale source d'énergie de notre corps.
En fait, des niveaux faibles de CoQ10
dans les tissus et le sang ont été signalés dans un large éventail de problèmes
cardio-vasculaires, par une étude indiquant que plus grande est la déficience,
plus sévères sont les symptômes.
A l'inverse, plusieurs études prouvent
que des personnes avec des niveaux élevés de CoQ10 favorisent leurs tissus
musculaires, leurs mitochondries et même leur sang, le CoQ10 intervenant dans
le fonctionnement des globules rouges (hématies). Ce qui peut provoquer
d'étonnants retournements du destin :
Cinq études contrôlées par placebo, dans
les année 80_90 montrent que l'augmentation du taux de CoQ10 apporte une
amélioration rapide et nette des douleurs à la poitrine, et accroît la capacité
d'exercice physique. L'une de ces études montre que la durée de l'exercice est
directement relative au niveau de CoQ10.
Le CoQ10 n'a aucun effet indésirable
Le Dr Peter Langsjoen a analysé 34 études
contrôlées par placebo, portant sur 2 152 patients souffrant de problèmes
cardio-vasculaires. Il déclare qu'il n'y a aucune toxicité et aucune
interaction médicamenteuse. Il dit aussi que le CoQ10 est « entièrement sûr,
sans aucune toxicité, selon plus de 1000 études publiées ».
Mais pour être très précis, cela dépend
du type de CoQ10 que vous choisissez :
Vous trouvez sur le marché, trois formes
de CoQ10 : la synthétique, la semi-synthétique, et les molécules naturelles
d'extraction.
D'un point de vue moléculaire, les trois
formes se ressemblent beaucoup, mais les deux premières formes sont moins
propres, car elles contiennent plus d'impuretés liées aux molécules.
D'autre part, si vous enquêtez sur les
prix, vous vous apercevrez que vous pouvez trouver des niveaux très variables.
Cela s'explique, outre la politique de marge du fournisseur, par l'origine du
CoQ10 qu'ils vendent.
A 15 euros la boîte de 60 gélules, il
s'agit très probablement de CoQ10 d'origine chinoise. Il n'est pas forcément
mauvais en soi, mais vous avez plus de risque qu'il contienne des impuretés et,
potentiellement, des polluants.
A 25 ou 30 euros la boîte de 60 gélules,
ce sera du CoQ10 d'origine indienne. C'est déjà moins risqué, et tous les lots
ne sont pas forcément contaminés, loin de là.
Mais s'il s'agit du corps de mes enfants,
de celui de personnes de ma famille, ou du mien, je préfère payer plus cher et
avoir du CoQ10 d'origine des USA ou du Japon, et sous la forme de molécules
naturelles d'extraction (la troisième forme citée ci-dessus). Cela coûte plus
cher, évidemment (40 à 60 euros la boîte).
Comment prendre votre CoQ10
Pour nous résumer, je considère que la
prise de CoQ10 peut faire une différence cruciale pour les personnes qui
prennent des statines, mais aussi pour toutes celles qui se préoccupent du
vieillissement de leur cœur et de leurs artères.
Aucune autre substance n'alimente vos
cellules et ne capture les radicaux libres dès leur apparition — à l'intérieur
de la cellule elle-même — tout en travaillant avec d'autres anti-oxydants pour
traquer les inflammations dans tout votre organisme.
Concernant les doses, il est recommandé
d'en parler d'abord avec votre thérapeute, mais, d’une indication à l’autre, il
est globalement conseillé de prendre 2 fois 50 mg par jour.
Il vaut mieux prendre les gélules de
co-enzyme Q10 au cours d'un repas contenant des lipides, le CoQ10 étant mieux
absorbé en présence d’huile ou de graisse.
Précautions à prendre
Attention, le CoQ10 est tout sauf un
produit à « effet placebo », comme voudraient le faire croire certains. C'est
un complément alimentaire qui a réellement un effet, et la preuve en est qu'il
est nécessaire d'abord de consulter votre médecin avant de l'introduire dans
votre régime. Il vous indiquera notamment que :
Du fait de la ressemblance de structure
entre le CoQ10 et la vitamine K, la complémentation ne doit pas être
concomitante avec la prise de warfarine (Coumadine®, anti-vitamine K) ;
Le CoQ10 doit être évité chez
l'insuffisant hépatique ou la personne porteuse d’une obstruction des voies
biliaires, et chez le diabétique lors de la prescription concomitante de
médicaments hypoglycémiants.
A noter également qu'en cas de
complémentation en vitamine E à des taux élevés, l’augmentation du taux de
CoQ10 sera plus lente du fait de la participation de celui-ci à la régénération
de la vitamine E quand elle vient d’être oxydée.
Vous trouverez la CoQ10 en pharmacies et
en boutiques bio – assurez-vous qu’il s’agisse d’ubiquinone naturelle (issue de
levures).
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Si vous êtes intéressé par le sujet des statines, je vous propose de relire le
texte très complet du Dr Michel de Lorgeril, chercheur au CNRS de
Grenoble, que nous avions publié il y a quelque temps
Ce chercheur se bat depuis 30 ans pour faire connaître la vérité sur les statines.
Ce chercheur se bat depuis 30 ans pour faire connaître la vérité sur les statines.
MESSAGE
A TRANSFÉRER
LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE
Je suis le Dr Michel de Lorgeril, du CNRS de Grenoble. Une de mes
spécialités de chercheur est la cardiologie, le cholestérol et les médicaments
contre le cholestérol.LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE
Ma conclusion, après trois décennies de travail sur le sujet, est que l'affaire du cholestérol et des médicaments anticholestérol est un épouvantable scandale sanitaire, un des plus grave du 20ème siècle, bien pire que l’affaire du MEDIATOR !
Quand vous aurez lu ce qui suit, je pense que vous conviendrez qu'il est urgent que les autorités de santé réunissent enfin un comité d'experts vraiment indépendants de l'industrie pharmaceutique pour réexaminer les données scientifiques existantes objectivement, et revoir les recommandations officielles sur le cholestérol.
Mon but est, au minimum, que vous ne vous fassiez plus prescrire des médicaments qui pourraient gravement nuire à votre santé.
Car non seulement les « statines », médicaments contre le cholestérol, ne sont pas efficaces pour réduire la mortalité cardiovasculaire, mais surtout ces médicaments sont toxiques.
Il n'y a plus de doute aujourd'hui. Les plus récentes études scientifiques indiquent que les médicaments anticholestérol pourraient [2] :
- Augmenter le risque d'hémorragie cérébrale: ce sont les résultats de
plusieurs études depuis le milieu des années 2000. Avoir un cholestérol
bas (ou abaissé par un médicament) augmente le risque d’AVC (accident
vasculaire cérébral) hémorragique, un accident dramatique qui peut vous
laisser hémiplégique (paralysé) et vous tuer
- Augmenter le risque de cancers: de nombreuses
études ont montré qu’avoir un cholestérol bas augmentait le risque de
cancers. De plus, des essais cliniques avec des médicaments ont montré une
augmentation des cancers chez ceux qui recevaient une statine par rapport
à ceux qui recevaient le placebo, en particulier de cancer du sein
- Augmenter le risque de déclin cognitif à
l’âge, autrement dit devenir gâteux plus vite, voire dément (Alzheimer)
- Augmenter le risque de diabète: jusqu'à 70 %
d’augmentation du risque après la ménopause. En l’absence de diabète, les
statines augmentent les syndromes de résistance à l’insuline, appelés
aussi prédiabète
- Augmenter le risque de devenir aveugle
- Augmenter le risque de troubles de la sexualité pour
les deux sexes, et notamment une impuissance plus fréquente chez les
hommes
- Augmenter le risque de problèmes rénaux de
façon proportionnelle aux doses de statines
- Augmenter les risques de problèmes musculaires, tendineux et
ligamentaires; les experts parlent de plus de 50 % de
réduction de la capacité d’exercice
- Augmenter le risque de pathologies articulaires inflammatoires
Avec d’autres experts dans de nombreux pays, nous considérons que les firmes pharmaceutiques ont dangereusement minimisé les risques d'effets secondaires nocifs dus aux médicaments contre le cholestérol, et que tout est fait aujourd’hui pour masquer la réalité de cette toxicité.
Mais le problème est que ces informations vitales pour les malades sont aujourd'hui occultées dans la presse médicale et ignorées par les autorités françaises.
Mon but n'est pas de vous faire arrêter vos médicaments ; cela doit être discuté avec votre médecin.
Mon but est d'obtenir que des experts, indépendants des industriels et groupes de pression, réexaminent les recommandations concernant le cholestérol et les médicaments contre le cholestérol.
Il y a vraiment urgence.
Car au bas mot près de 7 millions de personnes en France sont aujourd’hui traitées avec ces médicaments contre la logique scientifique et médicale.
Comment la profession médicale peut-elle faire une telle erreur sur le cholestérol et les médicaments anticholestérol ?
La première raison est l’influence de l’industrie du médicament : les statines qui sont le principal médicament contre le cholestérol constituent un des tout premiers marchés du monde, loin devant les antibiotiques, les antidépresseurs et la plupart des antihypertenseurs et des chimiothérapies anticancéreuses.
Ces 20 dernières années, ce marché a rapporté 300 milliards de dollars aux firmes pharmaceutiques. Des intérêts financiers gigantesques sont donc en jeu et certains sont prêts à tout pour occulter la vérité, y compris faire paraître de nombreuses études biaisées, invoquant faussement une efficacité des médicaments anti-cholestérol. Ces erreurs et ces manipulations, je les ai dénoncées dans mes livres et mes publications scientifiques et personne à ce jour n’est venu me contredire, me montrer où je me trompais.
La deuxième explication est qu’il est très courant en médecine que de graves erreurs dominent toute la profession sur de très longues périodes.
Il a fallu des décennies pour qu’on reconnaisse que le tabac était la cause de 95 % des cancers du poumon ; plusieurs décennies pour interdire l’amiante, dont de nombreux médecins, liés à l’industrie, niaient les dangers ; 35 ans pour sortir le Médiator du marché.
L'erreur des médicaments contre le cholestérol n'est qu'un cas de plus, sauf qu'il concerne cette fois des dizaines de millions de personnes à l'échelle mondiale !!
Du côté des études scientifiques, il faut bien comprendre qu’aucun lien n’a jamais été démontré entre la mortalité coronarienne et le taux de cholestérol.
Le 12 novembre 2004, il y a maintenant 10 ans, une grande étude est parue dans le British Médical Journal qui montre que les prescriptions de statines ont été multipliées par 7 entre 1996 et 2002 au Royaume-Uni, sans entraîner la moindre diminution du nombre d'admissions en hôpital pour un infarctus du myocarde.
Le 14 janvier 2008, la publication des résultats de l'essai Enhance sur deux molécules prescrites à des millions de patients pour faire baisser le cholestérol (la simvastatine et l'ézétimibe) a montré une totale inefficacité pour empêcher les lésions d’athérosclérose.
Ces médicaments n'ont eu aucun effet protecteur sur les artères. Cet essai ayant été conduit chez des personnes porteuses d’une hypercholestérolémie familiale (celles qui devraient profiter le plus des médicaments anticholestérol), les investigateurs et le sponsor ont essayé de cacher les résultats négatifs de cet essai, démontrant clairement que l’existence de conflits d’intérêt pouvait induire des comportements aberrants de la part des industriels et aussi des investigateurs (médecins et scientifiques) travaillant pour les industriels.
Ce n'est pas nouveau : depuis que le cholestérol a été découvert, les scientifiques sérieux affirment qu'il ne provoque pas les maladies cardiaques.
Selon les données de la grande étude sur le cholestérol, dite de Framingham, il n’y a pas de relation nette entre le cholestérol et le risque d’infarctus chez les personnes de plus de 50 ans et chez les femmes. Pour les personnes qui ont déjà fait un accident cardiaque, on parle dans ce cas de prévention secondaire, trois essais sérieux ont été réalisés pour diminuer drastiquement les graisses saturées d’origine animale, remplacées par les graisses végétales, et ainsi faire baisser le cholestérol.
C’est l’étude d’Oslo qui n’a montré aucune différence significative entre les groupes ; l’étude de Londres qui a montré une mortalité cardiaque identique dans les deux groupes, avec ou sans régime sans cholestérol. Et enfin l’étude de Sydney qui a montré une forte augmentation de la mortalité dans le groupe qui suivait le régime anticholestérol. Ces études et d’autres sont décrites dans mes livres écrits en langue française.
Mais la vraie catastrophe sanitaire a commencé lorsqu'on a voulu faire baisser artificiellement le cholestérol chez les patients avec des médicaments (fibrates, puis statines).
Mais malgré cette incroyable accumulation de preuves (sans doute n’y a-t-il aucun autre domaine médical où le scandale soit aussi visible et énorme que dans l’affaire des médicaments contre le cholestérol), des millions de patients continuent de se voir prescrire ces médicaments inutiles et toxiques.
L’industrie pharmaceutique et les médecins qui lui sont liés ont tout fait et continuent à tout faire pour empêcher que la vérité n’éclate au grand jour. Plus important encore si la profession médicale dans son ensemble reconnaissait soudain les faits, imaginez le nombre de procès qui risqueraient d’être déclenchés !
Je rappelle que de nombreuses études, largement ignorées de la presse médicale et de la grande presse, ont montré que les méthodes naturelles (l’adoption d’un mode de vie protecteur) permettent de réduire de façon drastique le risque de maladies cardiaques.
Ce n'est pas le cholestérol qui provoque l'infarctus et l'AVC. C'est la mauvaise alimentation, la sédentarité, le mode de vie délétère, le tabac, la pollution atmosphérique qui donnent de l'hypertension, du diabète et de l'athérosclérose.
Si j'ai choisi de consacrer ma vie à la médecine, nous dit il, c'est pour le bien des patients. Ma conscience m'oblige à parler tout haut pour dire la vérité sur les mensonges et la propagande tournant autour du cholestérol.
Transférez ce message le plus largement possible autour de vous.
Bien à vous,
Dr Michel de Lorgeril
https://www.youtube.com/watch?v=PElHn2rA4sU&t=2s
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